On avait découvert le mont Earnslaw Burn dans une scène du film Le Hobbit – Un voyage inattendu réalisé par Peter Jackson. On voyait la compagnie de nains marcher sur les versants d’une montagne parsemée de cascade et avec un imposant glacier descendant d’une paroi rocheuse abrupte. Intrigué par la beauté des lieux, on a fait quelques recherches pour savoir s’il était possible de s’y rendre pendant notre voyage en Nouvelle-Zélande.
On a découvert qu’il existait deux moyens pour accéder à cette vallée alpine au pied du glacier du mont Earnslaw Burn. La première, se faire déposer en hélicoptère ni vu ni connu. La deuxième, en randonnant sur 2 jours dans la forêt, la boue et les marécages. Devine quelle solution on a choisie? Même si on aurait adoré un survol des Alpes néo-zélandaises, notre portefeuille et mère Nature ne sont pas du même avis. À la place, on se lance dans 2 jours de trekking en autonomie totale avec nuit au pied du glacier. Retrouve toutes les informations pour organiser ce trek et notre avis sur cette randonnée inoubliable.
Informations sur le trek du Earnslaw Burn
Départ / Arrivée : Au bout d’un chemin qui part à droite de la route de la vallée de Glenorchy – Paradise. Coordonnées GPS : 44o44’31.5”S 168o25’11.5”E Durée : 12-14h aller-retour jusqu’à la tête de la vallée Distance : 25km aller-retour Difficulté : Intermédiaire (Section non balisée dans la vallée alpine).Itinéraire alternatif
En rédigeant cet article et en faisant quelques recherches, je suis tombé sur un itinéraire alternatif qui permettrait d’éviter la randonnée longue et fastidieuse dans la forêt. Cet itinéraire s’adresse toutefois au randonneur expérimenté, car il s’agit de longer la crête de la chaîne de montagnes à la vraie gauche de la rivière avant de redescendre dans la vallée quasiment au niveau de la bushline. Voici un tracé très approximatif pour te donner une idée. Cet itinéraire est fortement déconseillé dans des conditions hivernales (neige, glace, etc).
Où bivouaquer ?
- Abri sous les rochers de l’autre côté de la rivière à la sortie de la forêt (pas de ponts). Attention donc à la météo.
- Terrain plat avec des rochers au bord du chemin environ 200 m après la sortie de la forêt.
- Terrains plats dans l’herbe ou aux abords de la rivière 2-3 kilomètres après la sortie de la forêt.
Il n’y a aucune commodité sur cette randonnée, il y a seulement toi et la nature ! Alors, il faut prévoir de quoi filtrer l’eau de la rivière et un sac poubelle pour ne laisser aucun déchet, même pas un petit bout de papier toilette !
PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS… PENDANT QUE LE KIWI N’Y EST PAS
Pour démarrer, il faut enjamber les barbelés du champ. Puis, on trouve le panneau de la randonnée indiquant “Earnslaw Burn Track” juste avant d’entrer dans la forêt. À ce moment-là, on ne s’imagine pas qu’on va passer plus de 4h dans les bois ! Le sentier monte pendant une quinzaine de minutes dans la forêt avant de déboucher sur une clairière. À première vue rien de compliqué, mais c’était sans compter sur le terrain gorgé d’eau et hyper boueux. Avec nos chaussures de rando en fin de vie, on se retrouve vite les pieds mouillés. Du coup, on va faire tout le reste de la randonnée comme ça.
Le sentier se renfonce ensuite rapidement dans la forêt pour n’en ressortir que 3h30 plus tard. C’est la section où il faut vraiment être motivé, car pour être honnête, le sentier n’a aucun intérêt. Il monte et descend au grès des talus au milieu de la végétation avec en travers du chemin quelques obstacles aux choix parmi des troncs d’arbres, des éboulis, des racines, des rochers, de la boue, des flaques, des ruisseaux, etc. Autant dire que ce n’est pas une balade de santé. On se croirait dans un boot camp ! Au bout d’un moment, la fatigue se fait sentir avec le poids du sac sur le dos.
Malgré le mauvais état du sentier, celui-ci est quand même relativement bien balisé grâce à des petits triangles orange fixés sur les arbres. Il y a seulement quelques endroits où il faut rester vigilant pour ne pas prendre une mauvaise direction. Lors de notre passage, on a été contraints à plusieurs endroits de fabriquer des passages à l’aide de bois ou de rondins pour être en mesure de traverser d’énormes flaques ou des ruisseaux. Bref, on s’en souviendra souvent de cette forêt ! Après 4h de marche on aperçoit enfin le bout du tunnel.
BIVOUAC DANS LA VALLÉE DU EARNSLAW BURN
À la sortie de la forêt, quelle surprise de découvrir qu’on est encore loin de la tête de la vallée et que le mont Earnslaw est à peine perceptible ! La nuit est déjà en train de tomber et il nous paraît difficile d’atteindre le fond de la vallée à la lumière du jour. On décide donc de bivouaquer dans les environs.
On avance en quête d’un endroit assez plat pour poser la tente. Par chance, quelques centaines de mètres plus loin, on tombe sur un super spot avec des pierres immenses, dont une horizontale qui fera office de table, parfait ! On décide d’établir notre campement ici afin de profiter des dernières lueurs du jour pour manger dehors.
Réfugiés au chaud sous la tente, le seul bruit qui nous entoure est celui de la rivière qui passe juste en dessous. On ne peut s’empêcher de ressentir un léger sentiment d’appréhension de se retrouver seul en pleine nature à 4h30 de marche de la route la plus proche. Mais contradictoirement, c’est aussi enivrant de ressentir cette liberté, cette sensation d’être seul au monde. On se sent à la merci des éléments, car notre survie dépend de ce que la nature voudra bien nous donner comme notre réapprovisionnement en eau par exemple. C’est le genre d’expérience qui fait naître un profond respect pour la nature.
Une fois la nuit noire installée, on sort pour apprécier le ciel étoilé. Les deux couches de polaires et le bonnet sont de mises, car en cette saison automnale le froid commence à se faire sentir. Mais, on assiste à une véritable pluie d’étoiles filantes.
Au réveil, la végétation de la vallée alpine est légèrement gelée. Heureusement, un beau soleil vient nous réchauffer : chauffage 100% naturel. On a presque épuisé nos ressources en eau, alors pas d’autres choix que de nous diriger vers la rivière du glacier, afin de remplir une bouteille. Le plus dur c’est de plonger ses mains dans l’eau glacée au réveil ! Surtout qu’au retour on découvre que notre réchaud fait des siennes et qu’on ne peut pas compter sur le thé pour se réchauffer. C’est les aléas du camping… Mais bon comme dit Pierrick, on n’est pas bien là ?
FOND DE LA VALLÉE DU MONT EARNSLAW
Il est 8h lorsqu’on laisse le campement derrière nous pour nous enfoncer dans la vallée. À partir d’ici, il n’y a plus de sentier. On doit donc marcher à travers les herbes hautes. En plus des herbes mouillées, le sol est un peu marécageux. On s’enfonce donc dans l’eau dès que l’on pose notre pied sur la couche de mousse. On a donc très vite les pieds trempés.
On se repère aux herbes écrasées et aux traces laissées par les précédents randonneurs pour se frayer un chemin entre les broussailles. Parfois, on s’aperçoit qu’on ne prend pas le chemin le plus court, mais on avance quand même et puis l’important c’est de profiter du paysage. Le mont Earnslaw apparait un mur de roche dans le fond de la vallée avec le glacier comme suspendu dans les airs. C’est juste impressionnant et magnifique !
On s’installe sur le monticule au pied de la montagne pour contempler les lieux. Le mont Earnslaw Burn forme une enceinte de pierres immenses parsemées de cascades dégringolant du glacier. C’est vraiment un paysage atypique que l’on ne verra nulle part ailleurs en Nouvelle-Zélande. Ce qui pourrait le plus s’en rapprocher serait le Rob Roy Glacier dans le parc national du mont Aspiring, mais en largement moins impressionnant à nos yeux.
Un silence de cathédrale règne dans les lieux seulement interrompus par les craquements de la glace au-dessus de notre tête. Sensation garantie !
On a également la visite de quelques kéas, ces perroquets des montagnes endémiques à la Nouvelle-Zélande. Rapidement, on se retrouve encerclé par une dizaine de kéas qui jouent avec nous. Réputés très intelligents et fourbes, on les laisse approcher en restant vigilant pour nos affaires.
Le temps se couvre subitement et une pluie fine se met à tomber. C’est le signal pour nous rappeler de rentrer. Devant ces merveilles de la nature, le temps passe toujours trop vite.
Il est presque midi lorsqu’on est de retour à notre campement. Alors après avoir plié notre équipement, on mange un morceau pour reprendre des forces. Après ça, c’est reparti pour 4h dans la forêt maudite avant de retrouver le confort de notre petit van Gollum .
NOTRE AVIS SUR LE TREK DU MONT EARNSLAW BURN
Le trek du mont Earnslaw Burn est une expérience incroyable dont on garde un souvenir impérissable. Cette randonnée reste une de nos plus belles expériences de la Nouvelle-Zélande. C’était la première fois qu’on se retrouvait seuls en autonomie complète dans la nature pendant deux jours. Le mont Earnslaw et son glacier sont impressionnants. Bien qu’il soit possible de faire le trek sur une très longue journée de marche, on recommande vraiment de dormir sur place pour avoir le temps de profiter des lieux. Car c’est vraiment toute une expérience de se retrouver seul dans cette nature de jour comme de nuit. Le seul point négatif, c’est cette partie interminable du trek dans la forêt vraiment monotone.
Lors de notre visite, on n’a pas été dérangé par un seul hélicoptère, sans doute car nous étions à la fin de la saison touristique. Nous avons donc pu totalement profiter de l’atmosphère des lieux. Si tu y vas pendant la haute saison, c’est un argument de plus pour y passer une nuit afin de pouvoir profiter du calme.
Si tu cherches d’autres randonnées à faire dans les environs de la vallée de Glenorchy, consulte notre guide – Glenorchy : Guide des randonnées et des lieux d’intérêt de la vallée.
N’hésite pas à partager ton avis sur le trek du Earnslaw Burn dans les commentaires.
Veux-tu découvrir d’autres lieux incroyables comme le mont Earnslaw Burn ayant servi de lieu de tournage pour Le Seigneur des anneaux et Le Hobbit en Nouvelle-Zélande ?
Télécharge nos guides numériques (ebook) pour retracer les aventures de Bilbo et de la communauté de l’anneau dans les paysages de Nouvelle-Zélande ! Ces guides te seront utiles pour …
- Découvrir des lieux hors des sentiers battus que tu ne trouveras nulle part ailleurs.
- Organiser un itinéraire alliant lieux de tournage et exploration de la nature néo-zélandaise avec la randonnée.
- Gagner du temps sur place en ayant déjà pleins d’informations pratiques avant de partir : carte, accès, parking et coordonnées GPS cliquables pour les marquer sur Google maps.
- Avoir un avis et des conseils sur chaque lieu de tournage et les environs.
- Retrouver facilement à quelle minute du film tu peux voir le lieu de tournage.
Veux-tu découvrir d’autres lieux incroyables comme le mont Earnslaw Burn ayant servi de lieu de tournage pour Le Seigneur des anneaux et Le Hobbit en Nouvelle-Zélande ?
Télécharge nos guides numériques (ebook) pour retracer les aventures de Bilbo et de la communauté de l’anneau dans les paysages de Nouvelle-Zélande ! Ces guides te seront utiles pour …
- Découvrir des lieux hors des sentiers battus que tu ne trouveras nulle part ailleurs.
- Organiser un itinéraire alliant lieux de tournage et exploration de la nature néo-zélandaise avec la randonnée.
- Gagner du temps sur place en ayant déjà pleins d’informations pratiques avant de partir : carte, accès, parking et coordonnées GPS cliquables pour les marquer sur Google maps.
- Avoir un avis et des conseils sur chaque lieu de tournage et les environs.
- Retrouver facilement à quelle minute du film tu peux voir le lieu de tournage.
Wow quel périple 😉
Bravo la récompense semblait largement au niveau des efforts fournis – a faire une fois dans sa vie, c’est noté!
Bien hâte de vous revoir à Montréal les amis
Hello vous 2 !
Quel endroit magique !! Vraiment superbe !
Encore une belle découverte ! Merci!
Dommage que le chemin pour y accéder risque de décourager mon amie… il faut que je trouve les moyens de la motiver ! 🙂
Je n’arrive pas à trouver de tracé GPX pour la deuxième voie que tu évoques Pierrick, cela semble donc être compliqué…
Sur la map, je remarque un emplacement nommé “bivouac Rock” est-ce dans cette zone que vous avez campé?
Pouvons-nous envisager un bivouac plus loin, plus près du glacier ? A priori c est trop humide mais pensez-vous que c’est jouable ?
Merci!
Dis donc quand tu prépares quelque chose, tu le fais pas à moitié ! 😉
Pour ton amie, un peu de musique ou refaire des répliques du Seigneur des Anneaux est un bon moyen de faire passer le temps dans la forêt 🙂 Non non ça sent pas du tout l’expérience vécue ;-)…
Pour le tracé, je pense que tu ne le trouveras pas. Comme ça, cela va être difficile de t’aider plus. Le passage avait l’air clair depuis le bas, mais je ne sais pas comment est le terrain après pour redescendre de la crête.
L’emplacement bivouac Rock est juste un abri sous un rocher, il n’y a même pas assez de place pour une tente. Et en plus, cela demande de traverser la rivière ! On avait campé juste un peu plus loin sur le chemin. On avait dormi là, car on avait enchainé deux randos dans la journée, mais on te conseille d’aller plus loin dans la vallée. Tu seras plus près du glacier et en plus, tu n’auras pas cela à faire le lendemain avant de rentrer. Ce n’était pas humide de partout, il y avait des zones plates qui se prêtaient bien au campement.
Ah, ça s’annonce bien cool tout ça :-).
Bonne préparation
PS : Tu aurais pas une place pour nous dans ton sac à dos ? lol 😉
Pierrick et Sandrine
Ah ah 🙂 oui c’est vrai ! Mais comme on ne retse “que” 20 jours sur place, je m’en voudrais trop de passer à côté de chose superbe et de baser mon road-trip que sur du lonely planet ou routard 😉
Alors on sera libre de se detacher du planning, d’autant plus car on sera en van self-contained, mais on aura toujours ce fil d’ariane pour ne rien louper 🙂
Pour le tracé effectivement j’en ai trouvé un sur Gpsies, mais c’est imprécis, peur de m’embarquer dans un truc difficile alors que la piste que vous avez emprunté semble balisée et est repertoriée.
Plus qu’à motivé madame… pas simple… la photo du glacier suffit pour moi mais je ne sais pas pour elle ah ah ????.
Combien de temps environ estimez-vous pour la montée jusqu’au glacier ? Parce que j’imagine que les 12-13h c’est pour l’aller-retour ?
Ok merci pour la zone de bivouac on verra au feeling et selon l’etat de fatigue alors ???? (je ne pense pas etre pret a dormir sur un matelas sous une roche sans tente lol)
Oui ça va être trop cool ce voyage ! Et ca serait avec plaisir de vous emmener dans mon sac à dos, mais je crois qu’il sera déjà bien rempli lol.
Allez, retournez là bas et on se donner rendez vous sur un camping pour un échange de recit d’aventure autour d’une bière ou deux… 🙂
(ps: ça y est le breton va encore passer pour un alcoolo… mdr)
Hello Damien ! Désolé on en a mis du temps à répondre à ton mail, on l’avait mis en lu par erreur. En tout cas, il nous a fait bien rire ;-). C’est bien tentant la rencontre en Nouvelle-Zélande, on garde l’idée pour un autre endroit dans le monde, ok 😉 ? Sinon, pour répondre à ta question, 12-13h c’est bien pour l’aller-retour. Il faut prévoir un peu près le même temps pour l’aller et le retour, soit 6h-7h jusqu’au glacier comme il y a pas mal de kilomètres.
A +
Bonjour, mon conjoint et moi avons prévu aller en Nouvelle-Zélande en février 2019 et nous allons aller faire Le Earnslaw trek. Nous allons nous déplacer en Campervan, donc je voulais savoir s’il était possible de laisser son camper à quelque part pour faire le trek? Comme nous allons rester une nuit, croyez-vous que nous allons avoir des problèmes avec les autorités locale à ce propos?
Qu’est ce que vous nous recommandez d’apporter pour ce trek comme nous allons rester une nuit?
Merci
Kim
Salut Kim,
On avait laissé notre campervan au départ du sentier (cf. coordonnées GPS dans les tips du voyageur). C’était au bout d’un chemin et à cette époque il y avait très peu de voyageurs dans les parages, alors cela n’avait posé aucun problème. De manière générale, on n’a jamais eu de problème lorsqu’on laissait le campervan pour la nuit lors d’un trek. On laissait les rideaux ouverts pour bien montrer qu’il n’y avait personne qui dormait dedans. Sinon, tu peux toujours écrire un mot sur ton pare-brise pour dire où tu es.
Qu’est-ce que tu veux dire par ce qu’il faut apporter ? Parles-tu de l’équipement ou des provisions ?
A+
Pierrick et Sandrine
Oui effectivement comme équipement nous avons prévu tente et sac de couchage. Comme il s’agit de notre première fois en total autonomie, devons nous nous prévoir des matelas de sol , réserve d’eau ou de nourriture? J’ai très hâte à ce trek et je ne voudrais rien oublier 🙂
Merci
Kim
Salut,
Il peut faire froid sur les hauteurs et pleuvoir, il vaut mieux prévoir matelas de sol, vêtements chauds, veste imperméable, une paire de chaussette de rechange, etc. Ce n’est pas une liste exhaustive, mais tu peux voir notre équipement de camping ici : https://www.wonder-trip.com/materiel-de-camping/ . Avec ça, on prend aussi des allumettes, un briquet, une bouteille de gaz ou de l’essence pour notre réchaud, popotte, papier WC et un sac poubelle, un échantillon des éléments de notre trousse à pharmacie :https://www.wonder-trip.com/trousse-a-pharmacie/
C’est certains qu’il vous faut de la nourriture pour tenir 24h (surtout qu’avec l’effort et le poids du sac à dos, ça demande de l’énergie 🙂 ) et une réserve d’eau (compte au moins 4 litres par jour pour 2, puis amène des comprimés micropur pour filtrer l’eau de la rivière de la vallée de Earnslaw Burn).
Voilà de quoi te donner une idée de ce qui me semble le plus important, mais il vaut mieux que tu te prépares et penses à tout ce que tu aurais besoin personnellement :-).
N’hésite pas si tu as d’autres questions et tiens nous au courant si vous vous lancez 🙂
Sandrine
Merci beaucoup Sandrine
J’en prend bien note 😊
Kim
Hello,
Merci pour cet article, j’ai fais adoré cette rando !
Petite question, ou avez-vous trouvé l’info du col de carhadras dans LOTR ? Je ne Trouve cette info nulle part ailleurs… J’ai juste pu lire sur certains blog que c’est le mon cook qui a été utilisé. Merci à vous , bonne continuation !
Salut Raphaël,
Je suis content que la randonnée t’ait plu. Est-ce que tu l’as découverte grâce au blog ? Y avait-il du monde ?
Pour ta question sur le seigneur des anneaux, j’avoue que cela fait tellement longtemps que j’ai rédigé cet article que je ne me souviens plus de la source de cette information. Il faut dire que parfois il s’agit simplement de plans d’une ou deux secondes qui s’enchaînent pour matérialiser un lieu de la terre du milieu et qui ont été filmées à des endroits complètement différents. C’est peut-être le cas ici. Mais je ne me souviens plus.
Pierrick