La randonnée de Mueller Hut dans la parc national du Mont Cook offre de superbes panoramas sur le mont Cook et ses vallées glaciaires. Cette randonnée est toutefois qualifiée de “route” par les néo-zélandais en raison de son terrain accidenté. Elle est donc recommandée pour les marcheurs expérimentés. En fonction de la saison, il peut être nécessaire de traverser des névés de neige. Il est donc utile de se renseigner au préalable au centre d’informations de l’état de l’itinéraire pour avoir l’équipement adéquat. Pour nous, c’est le début de l’automne alors il n’y a plus de neige sur le sentier. Alors, c’est parti pour 6-8 h de marche et 1000 mètres de dénivelé positif sur 4,5 kilomètres ! Retrouve toutes les informations sur la randonnée et notre description pour te faire un idée sur sa difficulté.
Les caractéristiques de la randonnée de Mueller Hut
Durée : 6-8 h aller-retour Distance : 10,4 km aller-retour Difficulté : Intermédiaire à Difficile après Sealy Tarns (1000 m+) Départ : parking du camping de White Horse Hill à la fin de la route d’accès du parc national du mont Cook. Coordonnées GPS : 43°43’07.0″S 170°05’34.4″EPourquoi la randonnée de Mueller hut est-elle difficile ?
- Le dénivelé est important, c’est donc physique.
- Le terrain est mauvais par endroit surtout après Sealy Tarns. Il faut notamment traverser une zone d’éboulis fait de rochers instables ou glissants.
- C’est très exposé au vent au sommet donc prévoir des vêtements chauds, car la température se rafraîchit rapidement même par beau temps.
Tout savoir sur le refuge de Mueller hut
- 45$ NZ par nuit par adulte (en 2020)
- Commodités : eau – toilettes – 28 matelas — réchaud – lumière
- Réservation obligatoire en saison haute (novembre à avril)
- Paiement à la réservation. En dehors de la période de réservation, paiement au centre d’information le jour du départ.
Où dormir la veille du départ ?
Camping de White Horse Hill :
- 15$NZ par nuit par adulte
- Toilettes – Eau potable – Réchaud et abris
- Douche chaude à l’intérieur de l’abris public dans le village (à 2.5km du camping)
- Pas de réservation. Premier arrivé, premier servi, mais le camping est immense.
LAC ALPIN DE SEALY – SEALY TARN
On souhaite profiter au maximum de cette journée, alors on est sur le chemin dès 8h30 du matin. Le début de la randonnée commence en douceur avec le sentier commun à celui de Kea Point. Une fois la bifurcation pour le sentier de Kea Point passée, les escaliers prennent le relai. On croise rapidement les premiers marcheurs que nous doublons. Petit à petit, on se rend compte qu’il y a beaucoup de monde sur cette partie qui mène jusqu’au lac alpin de Sealy. On se suit tous les uns après les autres et on se double chacun son tour entre les pauses et arrêts photos.
À Sealy Tarns, la vue est déjà impressionnante. À gauche, on voit la Hooker Valley avec les lacs créés par la fonte des glaciers et au fond le mont Cook. À droite, on découvre l’immensité de la vallée. On dirait qu’on regarde dans un objectif grand-angle ! La lumière du soleil est juste au-dessus du mont Cook, alors ce n’est pas terrible pour les photos. On laisse ça de côté pour le retour.
ASCENSION JUSQU’À LA CRÊTE
À partir de Sealy Tarns, il ne s’agit plus d’un sentier maintenu et aménagé, mais d’un itinéraire alpin. Il est tout de même balisé par des marqueurs orange tous les 200 mètres. Il est donc difficile de se perdre. Au départ, l’itinéraire zigzague au milieu de la végétation alpine sur un terrain rocailleux avant de traverser un amas de gros rochers. Les derniers mètres de l’ascension jusqu’à la crête exigent de traverser une zone d’éboulis de graviers glissante.
Sur cette portion, il y a certes un peu moins de marcheurs que sur le sentier aménagé. Mais, on est loin d’être seul. Le dénivelé est beaucoup plus abrupt, car on monte quasiment en ligne droite sur la montagne. Nous doublons deux personnes âgées chargées d’un gros sac à dos qui avancent doucement, mais surement. On se dit qu’on aimerait bien être autant en forme à leur âge. C’est là aussi où qu’on se dit que la randonnée est définitivement ancrée dans la culture de la Nouvelle-Zélande depuis des générations et que ce n’est pas juste un effet de mode pour ses habitants.
DE LA CRÊTE AU REFUGE DE MUELLER
Une fois sur la crête, le temps change radicalement. Le vent souffle très fort et la température se rafraîchit. On supporte bien le bonnet et le coupe-vent ! Il y a un promontoire sur la droite qui permet de jouir d’un panorama sur la Hooker valley et le glacier Mueller, mais il y a un peu trop de monde à notre goût, alors on se réserve cela pour le retour quand la plupart des gens seront déjà redescendus.
L’itinéraire pour rejoindre la hut depuis la crête traverse une cuvette remplie de rochers. Heureusement, l’itinéraire est encore balisé, ce qui évite de se perdre dans ce dédale de roches qui plonge abruptement dans la vallée du glacier Mueller. Le versant du mont Sefton est recouvert d’une multitude de petits glaciers comme suspendus dans le vide. On se demande comment tout cela peut bien tenir. On aperçoit peu de temps après la Mueller hut, surélevée sur un lit de roches. Il nous aura fallu 3h30 pour atteindre le refuge alpin. On apprécie un peu de chaleur à l’abri du vent derrière les baies vitrées qui n’empêche en rien de profiter du panorama exceptionnel.
UN ENVIRONNEMENT ÉPOUSTOUFLANT
Après avoir repris un peu de force, on part explorer les alentours. En premier, on s’approche de la falaise du côté par lequel on est monté. Le versant est tellement à pic que l’on se demande bien comment on a pu monter jusqu’ici ! Le vent souffle tellement fort qu’on fait attention de ne pas trop s’approcher du bord, car une bourrasque aurait vite fait de nous faire chuter. Le panorama sous nos yeux est tout simplement époustouflant. Il est difficile de retranscrire ce que l’on voit avec des mots. La Hooker Valley s’étend presque sous nos pieds avec ses immenses lacs glaciaires et les rivières serpentant dans la vallée. Le mont Cook joue à cache-cache dans les nuages. C’est juste waouh ! Sans doute un des plus beaux panoramas qu’on a eu la chance de voir en Nouvelle-Zélande.
Il est possible de monter au sommet du mont Ollivier qui surplombe la Mueller hut de 133 mètres. Mais, on n’est pas convaincu que le panorama soit bien meilleur, car le sommet est légèrement en recul de la falaise. De plus, il s’agit d’un amas de roches, alors avec le vent qui souffle fort on préfère ne pas prendre de risques et on explore plutôt l’autre côté. Ici, on fait face à d’énormes glaciers qui dévalent le mont Softon dans un équilibre précaire. Au creux de la vallée abrupte se niche le glacier Mueller qui est bien plus impressionnant que ce que pouvait laisser croire la vue depuis la Hooker valley. On se sent tellement petit face à ça !
On repère quelques espaces plats entourés d’un cercle de pierres sans doute utilisé pour poser des tentes. C’est étonnamment proche du bord de la falaise. Alors, avec le vent qui souffle à cette altitude, on ne serait pas très serein de dormir ici. On entend alors subitement un grondement sur le versant du mont Sefton. On se retourne et on voit alors une énorme avalanche dévaler le versant abrupt. C’est un morceau du glacier qui s’est détaché comme une larme d’un corps meurtri. On ne cessera d’entendre ce craquement sourd de la glace, suivi de plus petites avalanches. C’est clair que les montagnes ne sont pas statiques, tu sens vraiment que les glaciers sont en mouvement. D’ailleurs, la hut a été détruite de nombreuses fois par des avalanches l’hiver. Elle a été reconstruite et améliorée au fil du temps.
L’IMPACT DU TOURISME SUR LES NÉO-ZÉLANDAIS
Pendant notre repas, les deux personnes âgées que nous avions doublées déballent leur pique-nique et équipement. Ils sortent alors tout un tas d’ustensiles en alu, des Tupperwares et des boîtes de conserve. Wouah, ils en avaient du poids ! D’autant qu’ils restent plusieurs jours dans la hut. Peu de temps après, on entend un touriste échanger avec eux et les féliciter pour être venu jusqu’ici. Il s’en suit la discussion suivante :
La touriste : « C’est vraiment une super randonnée ! »
Le couple de Néo-Zélandais : « mmm, c’est une randonnée sympa », d’un ton mitigé.
La touriste : « ah bon, pourquoi tu dis ça ? »
Le couple de Néo-Zélandais : « Il y a trop de monde, nous sommes venus il y a 15 ans et c’était vraiment différent. »
Pour nous qui randonnons afin de retrouver une connexion avec la nature, profiter de sa faune, sa flore et ses sons, ce n’est déjà pas très agréable de voir que certains lieux sont devenus de véritables autoroutes à touristes. En effet, la plupart des marcheurs arrivent les uns après les autres et repartent aussitôt. Cette randonnée est juste quelque chose qu’ils rajoutent à leur longue liste de chose faite ou vue. Ils immortalisent la vue avec un selfie pour montrer qu’ils l’ont fait, sans même prendre le temps d’observer le paysage et les lieux qui les entourent. Du coup, que retranscrit cette photo si ce n’est un énième paysage ?
On se disait bien que les Néo-Zélandais devaient en avoir gros sur la patate d’avoir vu leurs espaces d’évasion changés aussi rapidement avec le tourisme de masse qui a suivi les films du Seigneur des Anneaux. Le minimum à faire en tant que touriste est donc de respecter au maximum les lieux et de ne laisser aucune trace de notre passage.
LE RETOUR
On aurait apprécié de rester dans un endroit pareil pour le coucher et le lever de soleil, malheureusement avec le tourisme et le besoin de confort grandissant des marcheurs, le prix de cette hut est pas mal cher. Alors, on ne peut pas se permettre d’y dormir. On se serait pourtant contenté d’un matelas entre 4 planches comme dans la Ball Hut ! Misère du tourisme moderne qui tend à importer le confort partout où il passe…
On redescend quand même en prenant le temps de profiter de cet environnement grandiose. On fait un premier arrêt au point de vue situé au bout de la crête avant la descente dans la Hooker valley. Il faut escalader quelques rochers pour avoir un panorama dégagé. Mais, c’est encore une fois à couper le souffle. On jouit d’un point de vue sur le glacier Mueller en contrebas descendant dans la Hooker valley et des glaciers Frind, Huddleston, Te waewae et Eugenie suspendus au versant du mont Sefton. Comment ne pas se sentir insignifiant face à la montagne imposante et ces géants de glace ! On est comme perché dans le vide au-dessus de cette vallée glaciaire.
Le reste de la descente se fait de l’autre côté du versant, ce qui nous abrite des rafales de vent. Hormis la traversée de l’éboulis qui demande un peu de précautions, le reste de l’itinéraire se fait sans grande difficulté. On arrive sans encombre au niveau des lacs de Sealy Tarns qui ont retrouvé leur calme en cette fin de journée. La totalité des touristes a quitté la zone et la lumière est désormais plus propice à la photographie.
On prend tellement notre temps qu’on retrouve Gollum (notre van) seulement à la tombée de la nuit. On mange un morceau avant de ressortir marcher de nuit jusqu’à Kea Point pour admirer les étoiles au-dessus du mont Cook. Quoi de mieux pour finir notre exploration du parc national du mont Cook ?
NOTRE AVIS SUR LA RANDONNÉE DE MUELLER HUT
Les vues qu’offrent cette randonnée sont vraiment spectaculaires. Il serait dommage de bouder son plaisir. Pourtant, on ne peut s’empêcher de regretter que les lieux soient devenus une autoroute à touristes. Alors, cela gâche un peu l’expérience. Toutefois, autour de la hut, il est facile de trouver un petit coin tranquille pour se poser et profiter de la nature qui t’entoure. Avant de se lancer sur le chemin, il ne faut pas sous-estimer son dénivelé et la difficulté du terrain à traverser.
Si ton budget te permet de dormir à la hut pour profiter d’un environnement plus calme, c’est à notre avis le top ! Sinon il faut accepter de monter avant tout le monde et de redescendre après tout le monde comme on l’a fait pour retrouver un environnement alpin plus paisible et silencieux. Ces efforts sont récompensés par des panoramas majestueux du mont Cook et de sa vallée glaciaire dans un silence de cathédrale, où seul le vent fait entendre sa voix.
Cherches-tu d’autres idées de randonnées dans les environs, consulte notre article sur les meilleures randonnées du parc national du mont Cook.
N’hésite pas à nous partager ton avis sur la randonnée de Mueller Hut dans les commentaires.
Toujours aussi magnifiques ces photos
Merci 🙂
Salut, je suis à mount cook et j’aurais adoré faire cette rando tellement bien décrite, une fois encore. Malheureusement, je n’ai que l’après midi alors je vais me contenter du 1er point de vue.
Agnes
Salut Agnès,
Le premier point de vue est déjà pas mal pour profiter du panorama sur le mont Cook et ses vallées glacières :-). Au final, combien de temps voyages-tu en Nouvelle-Zélande ?
Salut Sandrine et Pierrick,
Je suis restée 1 mois et je pars ce soir pour l’Australie ! Je vais regarder le blog pour les randos en Australie. Pas toujours pratique à organiser pour moi car je n’ai pas d’auto. J’ai vu que vous aviez vécu au Canada ? Je reste à Montreal depuis 8 ans ! Au plaisir de randonner ensemble la bas si vous y revenez !
Bonjour Agnès,
On a moins randonné en Australie qu’en Nouvelle-Zélande. Après c’est sûr que sans voiture, c’est plus compliqué du fait de l’immensité du pays et de l’isolement de certains lieux. Si tu as prévu de voyager à l’Est, tu as les Blue Mountains qui sont facilement accessibles depuis Sydney.
Si tu veux d’autres conseils sur une zone plus précise, fais-nous signe car on est justement en train de rédiger nos articles sur l’Ouest australien. On a pas mal exploré l’Australie à l’exception du Queensland.
On a effectivement vécu plusieurs années à Montréal. On pense retourner au Canada cette année, alors ce serait un vrai plaisir de faire ta connaissance et pourquoi pas randonner ensemble !
Au plaisir,
Pierrick et Sandrine
Waw… ils en ont bien pris pour leur grade dans cet article les méchants touristes.
Mais au fait, et vous, qui êtes-vous ? Les gentils touristes c est vrai ! Ceux qui connaissent la seule et unique façon de contempler la montagne. Avec le couple de néo-zélandais grincheux bien sûr (qui payent bien moins cher l’accès aux équipements du DOC, grâce notamment … aux touristes qui, eux, payent plus cher). Et oui, la montagne n appartient encore à personne. Ou à tout le monde, c est selon !
Vous critiquez un tourisme de masse dont vous faites parti et que vous alimentez en tenant votre blog de « voyage ». Qui croyez-vous lit vos articles ? Les randonneurs chevronnés adeptes des grands espaces et de la méditation alpine ? Non. Désolé de vous l apprendre, mais je vous parie que ce sont en majorité les gens que vous décrivez : les « touristes ». Ceux qui cherchent à voir des choses belles dans un laps de temps réduit que leur autorise leur travail, c est à dire une grosse majorité de méchants touristes.. Ils cliquent « randonnées Nouvelle-Zélande » et tombent sur votre blog. Clé en main. Même pas besoin de se renseigner aux DOC. Il est pas beau le tourisme de masse ? Il vous permet même de gagner un peu d argent, il est pas si vilain en fait.
Les « touristes » vont là où ils peuvent aller. Si la Hut a vu son prix et son confort augmentés, c est parce que le DOC y a vu un bon business à se faire pour attirer encore plus de monde en Nouvelle Zélande. Les « touristes » n ont pas fait de pétition pour accéder à cette section, le DOC l a rendu accessible pour eux. Ne blâmer pas les touristes. Il reste beaucoup de sections inaccessibles à beaucoup de monde, mais peut être que cela attirerait moins de monde sur votre blog si vous en parliez…
Un Touriste
Bonjour Clément,
Il est toujours intéressant de lire un avis contradictoire au sien. À ta réponse, on sent une personne qui réagit comme si elle était personnellement visée. L’idée est pourtant de lancer un débat et une réflexion sur le sujet. Nous trouvions intéressant d’aborder cette thématique de l’impact du tourisme sur la Nouvelle-Zélande et notamment les randonnées.
Je ne pense pas que les choses soient si simples que tu tentes de le caricaturer. Tout n’est jamais tout blanc ou tout noir. Oui nous sommes des touristes lors de nos voyages et je crois qu’on le dit assez clairement dans l’article. Dire le contraire serait hypocrite.
Je ne pense pas que notre blog ait le pouvoir d’alimenter le tourisme de masse comme tu sembles lui conférer. À travers ce blog, nous essayons justement de promouvoir une autre façon de faire du tourisme en s’imprégnant plus dans les lieux notamment à travers la randonnée plutôt que de sauter d’un lieu touristique à l’autre.
Dixit : « Ceux qui cherchent à voir des choses belles dans un laps de temps réduit que leur autorise leur travail, c’est-à-dire une grosse majorité de méchants touristes.. »
Je ne pense pas que le problème dont on parle concerne le fait de vouloir voir de belles choses, mais de suivre ce biais que l’on a tous d’avoir la prétention de tout voir et de tout faire. Ce qui au passage ne veut pas dire grand-chose. Quelle expérience retient-on de tout cela ? Est-ce là l’essence même d’un voyage ? Je fais partie des gens qui ne le pensent pas, mais je ne dis pas non plus détenir la vérité. Il y a 7,7 milliards de vérités, car chaque personne à sa propre perception des choses en fonction de sa vie et de son expérience.
Dixit : « Il vous permet même de gagner un peu d’argent, il n’est pas si vilain en fait. »
Alors là oui c’est sûre avec tous ces reportages à longueur de journée sur les blogueurs voyageurs. Je te confirme, nous avons choisi la thématique la plus rémunératrice. Tous nos articles sur la randonnée nous ont rapporté la magnifique somme de …. 0€ depuis la création du blog pour des centaines d’heures de travail.
Dixit : « Si la Hut a vu son prix et son confort augmentés, c’est parce que le DOC y a vu un bon business à se faire pour attirer encore plus de monde en Nouvelle Zélande. Les « touristes » n’ont pas fait de pétition pour accéder à cette section, le DOC l’a rendu accessible pour eux. »
Oui je te rejoins tout à fait sur ce point et c’est bien ce qui m’attriste. Quand on voit le prix des Great walk en Nouvelle-Zélande, c’est tout simplement devenu une farce. On pense plus à comment faire de l’argent. Et après c’est les mêmes qui viennent pleurer parce que la nature a été endommagée par une trop grande fréquentation. Il y a malheureusement beaucoup d’endroit sur terre où la vocation des parc nationaux de protégés la nature a cédé la place à la promotion d’usine à touristes. J’émets juste le souhait de pouvoir continuer à jouir dans le futur de plaisir simple et abordable comme un petit refuge sans aucun service perdu au milieu de nulle part pour revenir à l’essentiel et tout simplement profiter de dame nature.
Dixit : « Ne blâmer pas les touristes. Il reste beaucoup de sections inaccessibles à beaucoup de monde, mais peut être que cela attirerait moins de monde sur votre blog si vous en parliez… »
Je crois que justement sur notre blog nous parlons de beaucoup d’endroit beaucoup moins touristique et connu que le parc national du mont Cook pour inciter les gens à prendre le temps de découvrir autre chose que le TOP 10 du Lonely Planet.
Un autre touriste 🙂 qui te souhaite de profiter d’un excellent séjour en Nouvelle-Zélande.
Au plaisir d’échanger.
Merci beaucoup pour votre site qui nous sert beaucoup et pour cet article en particulier. En lisant ce que vous aviez mis on a décidé de partir encore plus tôt. 7h20 nous entamons la montée. Un bonheur! le lever de soleil et la montagne pour nous tout seul. On a eu de la chance sur le temps egalement. Encore merci!
Bonjour Typhenn,
Merci pour ce retour, ça nous fait plaisir !
Effectivement pour cette randonnée mieux vaut prévoir de partir tôt pour profiter d’une atmosphère un peu plus calme et moins fréquentée.
J’imagine que le lever de soleil au milieu de ces montagnes et des glaciers devait être plutôt pas mal 🙂 !
En tout cas, je croise les doigts pour que votre voyage ne soit pas trop perturbé par le coronavirus.
Au plaisir.
Bonjour,
Je prépare un voyage en NZ fin septembre-début octobre, malheureusement nous ne pouvons pas y aller plus tard. Pour certaines randos, je sais qu’on ne saura qu’à la dernière minute si le terrain est praticable, savez vous si la Mueller Hut hike est faisable autour de 5 octobre ? Nous sommes jeunes et assez sportifs, avons prévu des bonnes chaussures de marche et des bâtons, mais nous ne sommes pas alpinistes pour autant aha.
Merci beaucoup pour votre blog qui m’aide beaucoup dans la préparation de ce voyage !